Tourisme

Les points d'accueil touristique

A Corbigny

Ouvert toute l’année :

  • Entre septembre et juin –  du mardi au samedi 9h – 12h30 et 14h – 17h30
  • Juillet – Août – du mardi au samedi 9h – 12h30 et 14h – 17h30 et Dimanche de 9h – 12h 30

8 place de l’Hôtel de ville, 58800 Corbigny

Contact : 09.82.56.94.98
tourisme@cctbc.fr

 

 

A l’écluse 16 de Sardy-lès-Epiry

Ouvert durant la saison estivale :
 
  • Mai à Juin 2024 : du Mardi au dimanche de 11h – 17h 30
  • du 1er Juillet au 22 Septembre 2024 : du Lundi au dimanche de 11h – 17h 30

A l’écluse 1 de Baye

Ouvert durant la saison estivale :
 

Les guides du territoire

Guide des restaurants

Guide des hébergements

Le Canal du Nivernais

Les voûtes de La Collancelle

Carte des escales flottage et nature

L’échelle des 16 écluses

Site remarquable du Canal du Nivernais, la vallée de Sardy ou échelle des 16 écluses reste un lieu énigmatique. Bien malin sera celui qui en trouvera une définition claire. Même dans les ouvrages destinés au canal, on l’évoque mais on ne s’y attarde pas. La raison en est simple : la vallée de Sardy ne se raconte pas, elle se vit ! Oubliez votre montre, ici le temps se compte en écluses.

En bateau, à vélo ou à pied, le chant de l’eau d’un côté, la fraîcheur de la forêt de l’autre, vous ferez connaissance avec les habitants de cette vallée. Les éclusiers qui vont
d’écluse en écluse pour permettre le passage des bateaux, les plaisanciers, résidents furtifs mais indispensables à la vie du canal, les artistes qui expriment leur talent par des expositions dans les maisons éclusières ou en utilisant comme toile de fond une écluse, un jardin, une bitte d’amarrage…, et les simples promeneurs venus se délecter de la sérénité ambiante. Chacun donne vie à ce lieu qui jadis fut une voie commerciale dont les chemins de halages servaient uniquement aux chevaux et aux hommes qui tiraient les péniches.

Laissez le stress au parking,
l’échelle des 16 écluses est un endroit hors normes, apaisant, qui libère l’esprit et nourrit l’imagination…

Côté pratique :

L’échelle des 16 écluses s’étend sur 3,6 km, du hameau de Port-Brûlé au village de Sardy-les-Épiry. L’accès au chemin de halage est interdit aux véhicules, vous devrez donc stationner sur les parkings situés à chaque extrémité de l’échelle et faire l’aller-retour (7,2 km) ou essayer de faire du bateau-stop pour le retour. Vous pouvez faire cette balade toute l’année même si elle est beaucoup plus intéressante d’avril à octobre, lorsque le canal est ouvert à la navigation.


Les étangs de Baye et de Vaux

Situés en plein cœur du nivernais, entre prairies bocagères et forêts, les étangs de Baye et Vaux offrent un paysage tout à fait particulier dans la Nièvre. 

En effet dans le département, rares sont les étendues d’eau libre à proposer une telle diversité d’activités de plein air : observations de la faune et de la flore sur les sentiers nature aménagés, pêche et sports nautiques. Ils constituent ainsi une destination touristique privilégiée pour le public aimant la nature.

Relativement anciens, ces étangs ont été réaménagés à la fin du XVIIIème siècle avec la construction du Canal du Nivernais. Des digues ont ainsi été construites afin d’augmenter la capacité de ces étangs à stocker l’eau pour alimenter le Canal.

Ce complexe d’étangs a reçu un classement au titre du réseau européen de sites naturels : Natura 2000. Ce site naturel est un écosystème remarquable et permet ainsi le développement d’un certain nombre d’espèces de faune et de flore. Les oiseaux d’eau notamment trouvent là une multitude de gîtes pour se reposer et s’alimenter mais aussi pour se reproduire.

Le Parc Naturel Régional du Morvan

Le Parc du Morvan : qu’est-ce-que c’est ?

Ilot granitique au coeur de la Bourgogne calcaire, le Morvan vous enchantera par ses paysages sauvages, ses grandes forêts verdoyantes, ses lacs paisibles et ses rivières tumultueuses… 

Créé en 1970, il s’étend sur les départements de la Côte-d’Or, la Nièvre, la Saône-et-Loire et l’Yonne. Il se compose de 117 communes, 6 communes partenaires, d’une population de 71 372 habitants et d’une altitude moyenne de 550 m avec un point culminant à 901m. 

Le Morvan est la montagne de la Bourgogne. Les communes de Cervon, Gâcogne, Mhère, Montreuillon, Mouron-sur-Yonne, Pouques-Lormes et Vauclaix font partie de ce parc et la ville de Corbigny est l’une de ses 4 villes partenaires.

La tuilerie de la chapelle de Sarre

Vous trouverez la tuilerie sur les hauteurs de Corbigny. 

Celle-ci fut construite au XVIII ème siècle. Briques, tuiles et tomettes, produites à partir de la terre de carrières voisines, y sont cuites au feu de bois. Vous pouvez admirer la très belle charpente du séchoir et découvrir cet artisanat qui fait partie de notre patrimoine.

La tuilerie se visite en accès libre durant les heures de travail durant la semaine et sur rendez-vous les weekend.
 
Contact : 15 Bis rte Cropigny, 58800 CORBIGNY 
03 86 20 10 53 ou 06 24 82 18 31

L'Abbaye de Corbigny

Ce magnifique monument, reconstruit à l’époque baroque a perdu sa fonction d’abbaye après la révolution. Loin d’être laissé à l’abandon, elle a abrité les Haras nationaux, la mairie, la gendarmerie, la prison, le petit séminaire, le juge de paix et bien d’autres encore avant de s’ouvrir à partir de 1850 à l’enseignement, d’abord religieux puis laïque jusqu’en 1983.

Aujourd’hui, ce bâtiment abrite le projet culturel de l’abbaye, un collectif d’artistes, d’œuvres contemporaines et une multitude de concerts, spectacles, expositions et ateliers à destination des habitants, permanents ou de passage, conquis ou curieux.

Contact : 6 rue de l’Abbaye, 58800 Corbigny                        03.86.20.22.78 / info@abeicite.fr

 

Le site archéologique de Compierre

Situé à mi chemin entre Corbigny et Prémery, sur la commune de Champallement, découvrez ce site gallo-romain préservé dans son écrin de verdure.

Cette bourgade a été fondée à l’époque gauloise et a disparu au VIème siècle de notre ère.

Les fouilles successives menées par les archéologues, permettent aujourd’hui de découvrir les fondations des habitations, des ateliers, d’un temple et d’un théâtre.
Les vestiges archéologiques sont désormais inscrits au titre des monuments historiques.

Une partie des collections archéologiques découvertes est exposée au musée d’art et d’histoire de Clamecy.

Les visites sont libres et gratuites tous les jours.

Des visites guidées gratuites vous sont proposées par l’association des Amis de Compierre.

L'aqueduc de Montreuillon

Situé dans la commune de Montreuillon, l’aqueduc est une véritable curiosité du Morvan.

Il fut construit entre 1838 et 1843. La construction de cet édifice répondait au besoin d’alimentation en eau du canal du Nivernais entre les bassins de la Loire et de la Seine.

Pour ce faire, une rigole de dérivation capte les eaux de l’Yonne sur 28 kilomètres entre le Pont de Pannecière et Port Brûlé sur la commune de La Collancelle.

L’aqueduc de Montreuillon mesure 152 mètres de long, culmine à 33,5 mètres de hauteur et comporte 13 arches.

Pour les amateurs n’hésitez pas à vous y rendre pour une randonnée et admirer la vue du haut de cet ouvrage.

Saint Jacques de Compostelle

Un pèlerinage chrétien est un voyage vers des lieux sacrés, des tombeaux, des lieux disposant de reliques… Ce pèlerinage s’est développé, depuis le VIIIème siècle, à la suite de la découverte de reliques de Saint Jacques à Compostelle (Espagne). Si le pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle appartient à la tradition chrétienne, il connait aujourd’hui son renouveau. En effet, la pratique de la marche permet de se ressourcer et de pratiquer un tourisme plus respectueux de l’environnement.

Pour en savoir plus...

Les incontournables dans notre territoire sur les chemins de Saint Jacques

Asnois

Vignes avec vue sur le clocher d'Asnois

Chitry-les-Mines et Chaumot

Chitry-les-Mines, la commune de Jules Renard
Vu du Canal du Nivernais depuis Chaumot

Neuffontaines

Chapelle du Mont Sabot

Saint-Révérien

Eglise Saint Révérien

Corbigny

Abbaye de Corbigny

Metz-le-Comte

Eglise Notre Dame de l'Assomption

Saint Aubin des Chaumes

Eglise

Tannay

Vu sur la commune et l'église Saint Léger

3 hébergements de pèlerins de Saint-Jacques

Les chemins de Saint Jacques de Compostelle passent par les communes de Tannay, Saint-Révérien et Corbigny où les pèlerins pourront faire étape avant de poursuivre leurs routes vers La Charité sur Loire et Bourges.

Hébergement pèlerins de Corbigny

Ouverture du 26 mars au 31 octobre.

  • Personne Majeur : 12.5€
  • Mineur : 12€ la nuitée

Conditions d’accès : 

  • Etre muni de sa crédenciale
  • Possibilité d’accueil de 5 personnes
  • Possibilité de cuisiner
  • Arrivée :   15 heures 30
  • Départ :    9 heures

Information et réservation :

  • Mme Maryse PELTIER (Maire) :      06.08.05.77.41.
  • Monsieur Jean-Paul DELAVAULT (adjoint à la mairie) :  06.71.99.74.81
  • Monsieur NACHIN (Garde champêtre) : 06.84.60.46.17

Hébergement pèlerins de Tannay

Ouverture du 15 mars au 31 octobre

  • 15€ la nuitée par personne pour toute la saison

Conditions d’accès :

  • Etre muni de sa crédenciale.
  • Maximum 10 à 12 personnes.
  • Possibilité de cuisiner sur place.
  • Les arrivées se font entre 15h00 et 17h30, départ à 9h00. 

Information et réservation auprès de M. ou Mme ROY : 06.71.74.60.02.

Hébergement pèlerins de Saint-Révérien

Le gîte pèlerins est ouvert toute l’année. Il comprend 14 places dont 2 chambres avec 2 lits, une cuisine, une douche et des toilettes, une salle de vie ou salle à manger, et un petit jardin. 

Le wifi est disponible à la mairie.

Une participation de 10€ aux frais de fonctionnement (chauffage, eau, électricité, entretien) est demandée par personne et est de 5€ pour les enfants de moins de 12 ans.

Informations et réservations auprès de la mairie au 03.86.29.63.28.

Jules Renard

Brochure Jules Renard en français

Brochure Jules Renard en anglais

Monument de L'émeraude

Le 15 Janvier 1934, le Dewoitine D 332 immatriculé FAMMY s’écrasait à Corbigny dans la Nièvre.

L’avion connu sous le nom de l’Emeraude, mis au point par le pilote d’essais Marcel Doret, rentrait d’Indochine après avoir établi un record historique de liaison entre Paris et Saïgon.

La catastrophe

Le début de l’année 1934 est marqué par un évènement tragique, la catastrophe de l’avion trimoteur Dewoitine « Emeraude », qui effectue sa première liaison avec l’Indochine. Reparti de Marignane le 15 janvier à 15h10, le rapide monoplan se posait à Lyon, après avoir lutté contre une violente tempête. Malgré la nuit qui tombait, il s’envolait de nouveau pour gagner le Bourget dans la soirée. Vers 19h30, un message signalait que la machine progressait à 1700 mètres d’altitude dans une tempête de neige. Quelques minutes plus tard, les habitant de Corbigny voyaient un avion s’abattre dans une prairie où il brûlait pendant près d’une heure. Lorsque le brasier sera éteint, les sauveteurs, qui avaient dû renoncer jusque-là à toute tentative d’intervention, retireront des décombres, des cadavres carbonisés et il sera bientôt établi qu’il s’agissait de l’Emeraude… La tragique nouvelle est venue jeter le deuil dans notre aéronautique qui s’apprêtait à célébrer dignement le retour de la croisière africaine.

Colline maudite

Toute la nuit, la pluie a fait rage, chassée en tous sens par un vent violent qui ne s’arrêtait que pour faire place à des bourrasques de neige. C’est dans ce décor, autour des restes calcinés de l’avion et de ses passagers, dans la boue qui les engloutissait jusqu’à mi-jambe, que les sauveteurs inutiles mais héroïques de dévouement, poursuivront leur pieuse tâche. Sur cette scène d’abomination, le jour s’est levé, triste, gris et froid comme un suaire. Le tragique de la chose enveloppe tout ici, et si les boutiques n’ont point fermé leurs rideaux de fer, c’est qu’il faut bien vivre malgré tout.
Mais c’est beaucoup moins la vie que la mort ici. Des commentaires ? On n’en fait point ou si peu et les hommes les plus forts restent muets d’horreur. De temps à autre, à voix basse, on émet une hypothèse ; puis, comme honteux de pouvoir penser à quelque chose devant ce spectacle hallucinant, on se tait, les yeux lointains comme sans vie, ne quittant pas les lugubres débris. Oh ! Ils ne sont pas nombreux : le feu a fait place nette. Les lambeaux de chair dissimulés sous des sacs suffiraient tout au plus à remplir quelques-uns uns d’entre eux. […] Dans un rayon de 100 mètres autour de l’avion, des débris de ferraille fichés en terre, révèlent à l’attention, des sacs étendus, des lambeaux de chair. A qui sont-ils ? Ils reposent maintenant dans d’humbles cercueils de bois blanc.
C’est dans une chapelle ardente dressée dans une des salles du rez-de-chaussée de l’Hôtel de ville de Corbigny, toute tendue de noir, que les dix cercueils ont été déposés hier à 18 heures devant une foule émue et silencieuse. […] Les cercueils resteront déposés dans la chapelle ardente jusqu’au lendemain matin. C’est à 11 heures qu’aura lieu la levée des corps. Ceux-ci, après une absoute donnée probablement par Mgr Flynn, seront conduits à la gare, où des fourgons les mèneront ensuite jusqu’à Paris.

L’enquête

Il est assez difficile, pour le moment, de préciser exactement les causes de la catastrophe ; cependant nous pouvons dire que « l’Emeraude », pris dans une épouvantable tempête, d’autant plus violente qu’elle fut locale, n’a pu résister aux éléments déchaînés, ainsi q’un navire en pleine mer démontée. Le drame s’est déroulé en quelques instants, nous pouvons même préciser en sept minutes. Le dernier message de l’Emeraude, capté à 19h33 exactement, faisait savoir au Bourget que l’avion se trouvait à 1750 mètres d’altitude, que tout allait bien malgré la tempête de neige et qu’il se guidait lui-même sur sa goniométrie.
Or, sur le corps du pilote Launay, la montre, intacte, marque l’instant tragique de la chute : 19h40. Il s’est donc écoulé, comme vous le voyez, exactement sept minutes entre l’envoi du message, sans signal de détresse et la chute, ce qui fait conclure que pendant ces sept minutes, l’Emeraude sera pris certainement en une sorte de cyclone enveloppant qui l’a en quelque sorte pompé et plaqué sur le sol, malgré sa lutte désespérée pour retrouver son équilibre en prenant de la hauteur… D’ailleurs, d’après l’enquête, l’Emeraude avait atteint, si l’on se base sur le temps écoulé de son départ de Lyon jusqu’à l’heure du drame, qu’une moyenne de cent trente kilomètres à l’heure alors que normalement, la moyenne aurait dû être de deux cents.
L’Emeraude est tombé d’une hauteur de 50 mètres et a touché le sol à près de 400 kilomètres à l’heure, ce qui explique la terrible violence du choc. Nous concluons donc que, pris dans une violente tempête nordique, l’Emeraude a eu une de ses ailes, et non pas ses moteurs, givrée. En s’accumulant, la neige a provoqué, par son poids, le détachement partiel d’ailerons qui ont été retrouvés sur une distance de 1500 mètres du lieu de l’accident, faisant perdre l’équilibre à l’appareil. Malgré tous les efforts du pilote Launay, l’avion, perdant de la hauteur, a été littéralement plaqué au sol. 

Les victimes

André Launay : Pilote
Camille Crampel :Mécanicien
Ferdinand Queyrel : Radio

Pierre Pasquier : Gouverneur général de l’Indochine
Capitaine Léon Brusseaux : Officier d’ordonnance de Pierre Pasquier

Emmanuel Chaumié : Directeur de l’aviation civile
Colette Chaumié : Son épouse

Maurice Noguès :  Directeur général adjoint chargé de l’exploitation de la compagnie Air-France et pionnier de l’aviation

Maurice Balazuc : Directeur technique d’Air-France
Jean-Jacques Larrieu : Journaliste chargé de mission

Données techniques 

Voici les données techniques de l’avion Dewoitine D 332 « Emeraude ».

C’est un avion trimoteur de transport construit en France en 1933 destiné au transport civil.

Envergure : 29 m
Hauteur : 5,35 m
Longueur : 18,95 m
Surface portante : 96 m²
Masse totale : 9340 Kg
Nombre de passagers : 8
Motorisation : 3 moteurs Hispano-Suiza 9V de 575 ch
Vitesse maximale : 300 Km/h
Vitesse de croisière : 250 Km/h
Montée : 4000 m en 17’30 »
Plafond : 6500 m
Autonomie : 2000 Km

Un seul exemplaire construit, le modèle de la firme Dewoitine qui le succède est le Dewoitine D333, construit en 1935. Le D 333 est proche du D 332 dans sa conception de type monoplan aile basse. 

Tintin et l’Emeraude

Dans son édition le Sceptre d’Ottokar écrit en 1939, Hergé semble s’être inspiré de photos de l’Emeraude pour illustrer une de ses vignettes. De nombreuses références à d’autres avions sont présentes dans le Sceptre d’Ottokar. Et l’on connait la rigueur avec laquelle Hergé réalisait ses albums.

 Association « l’Avion Emeraude – Janvier 34 » 

Il à été crée lors d’une assemblée générale constitutive du 26/11/1999, une association loi 1901 ayant pour titre : « L’Avion Emeraude – Janvier 34 ».
Cette association à pour objet de participer à la restauration et à l’entretien du monument de l »Emeraude » situé à corbigny et appartenant à cette même commune.; ainsi que de commémorer le souvenir de l’avion Dewoitine D332 « Emeraude », de son équipage et de ses passagers, disparus à Corbigny le 15 janvier 1934 au retour du vol Paris-Saïgon.

 

Les châteaux

Château de Lantilly

Au bord de l’Anguison se dresse le château de Lantilly, édifié sur une ancienne villa gallo-romaine du nom de « Lentulli villa ». On y remarquait autrefois six tours qui furent détruites par le propriétaire vers 1810. Repère de sorcières au XIVe, le château de Lantilly, entouré de douves, avec son pont dormant et son portail du XVIIIe, à gardé un charme
médieval.

Les visites sont possibles en juillet et en août.

Lantilly, 58800 Cervon                    Téléphone : 03.86.20.01.22

Château de Chitry

Situé dans le bourg de Chitry-les-Mines à
proximité d’une ancienne voie romaine reliant Dijon à Bourges, le château de Chitry domine l’Yonne. Depuis le XIVe siècle, les aléas des successions et des ventes le firent passer dans de nombreuses familles qui se sont illustrées
dans l’histoire de la province. Construit sur un plan barlong, le château est constitué d’un corps de logis flanqué de deux tours rondes et relié à deux autres par deux ailes de moindre importance datant du XVIIe. L’intérieur abrite des
meubles des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, des tableaux des écoles Italiennes, Flamandes et Hollandaises, ainsi que des tapisseries d’Aubusson et des Flandres. L’aile ouest est occupée par une galerie décorée de peintures mythologiques représentant les Sybilles. (I.M.H.).

Le Bourg, 58800 Chitry-les-Mines    Téléphone : 03.86 20 11 48

Château de Villemolin

Le château est situé sur une hauteur d’où l’on voit les collines boisées du Morvan. En forme de fer à cheval il est flanqué de trois tours. Construit au XIVe siècle sur l’emplacement d’une villa gallo-romaine : « la villa molini », il fut remanié aux XVII et XIXe siècle. Dans la chapelle construite en 1830, de style néogothique, on peut admirer une piétà du XVe peinte sur bois, don des Chartreux du Val Saint-Georges. Acquis par les Certaines en 1538, le château est resté dans la famille depuis quatre siècles.

Les visites sont guidées et se déroulent sur les mois de juillet et août.

Villemolin, 58800 Anthien 
Téléphone : 06.73.19.78.22

La Taxe de Séjour

Les déclarations de la taxe de séjour se font directement en ligne via une plateforme. Pour les nouveaux hébergements, nous vous remercions de bien vouloir vous rapprocher de nos services.


Le Comité Régional du Tourisme

L’Agence de Développement Touristique de la Nièvre